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Rencontre avec Whethee et Philippe

par le 25 Sep, 2015 dans Les rencontres de Sylvie, Nouvelles | 1 commentaire

  Comme pour bien des rencontres, celle qui fit se croiser les chemins de Whethee et Philippe il y a déjà 21 ans est le fruit de l’improbable. Depuis, ils vivent leur diversité au quotidien avec leurs trois enfants Robin, Isaline et Nayanka, en s’efforçant de promouvoir l’ « être » et non l’ « avoir », en combattant les préjugés.

Si je suis élue à Berne

par le 24 Sep, 2015 dans Nouvelles, Politique | 2 commentaire

Bien chers tous, bien chères toutes, Dans ma première newsletter, je vous disais que si je suis élue à Berne, je ne m’y rendrai pas pour générer une multitude de projets de lois qui viendraient encore compliquer la tâche quotidienne des entrepreneur-e-s, des citoyennes et des citoyens de ce pays. Au contraire, mon vœu va plutôt dans le sens d’un élagage de lois et règlements existants qui sont soit excessivement contraignants, soit qui vont tout simplement à l’encontre du bon sens. Vous trouvez sur mon site un article où je rapporte les propos d’agriculteurs que j’ai eu la joie de rencontrer, illustrant les contraintes qui péjorent la dynamique entrepreneuriale dans l’agriculture. Les accords bilatéraux entre la Suisse et l’Europe ont eu un impact positif pour l’industrie alimentaire en Suisse si l’on considère l’augmentation du montant annuel de produits exportés. Il n’en reste pas moins que le gros des exportations est constitué de produits transformés. La transformation à la ferme constitue un moyen privilégié de valoriser l’agriculture régionale. Mais lorsqu’une activité de transformation de produits agricoles est envisagée, l’Etat veut s’assurer de bien distinguer une activité commerciale d’une activité agricole. Dès lors l’arsenal d’exigences et de contrôles est tel que la plupart des producteurs agricoles renoncent, même lors de la construction de nouvelles exploitations ! Si la famille Guye  produit de la viande de bœuf bio, elle se tourne surtout vers des activités complémentaires relatives aux chevaux, leur passion. Et que dire de l’agrotourisme suisse. Prenons le cas concret de la famille Stähli. La Suisse veut lier l’agrotourisme à l’agriculture : il faut être considéré comme agriculteur pour être autorisé à offrir des prestations d’agrotourisme. Lorsque Christian sera à la retraite, dans cinq ans, il ne sera plus considéré comme agriculteur et ne pourra donc pas continuer à œuvrer dans l’agrotourisme. Gardons le sens de la logique et du concret. Encourageons toutes les initiatives entrepreneuriales qui permettent à des femmes et des hommes de subvenir à leurs besoins. Il y a évidemment d’autres lois et d’autres règlements qu’il faut interroger. Nous en reparlerons, mais peut-être avez-vous, vous aussi des exemples à me donner. Peut-être souhaitez-vous attirer mon attention sur un problème que vous souhaitez que je porte à Berne pour vous. Je vous propose de nous rencontrer. Depuis le 19 septembre et jusqu’au 8 octobre, je sillonne le canton pour aller à votre rencontre. J’invite par ailleurs toutes mes colistières à me rejoindre pour ces échanges. Après Payerne samedi dernier, et Yverdon-les-Bains ce lundi 21 septembre, je serai : Mercredi 30 septembre, de midi à 14 heures, au restaurant Lausanne-Moudon, rue du Tunnel 20, à Lausanne. Le mardi 6 octobre, c’est à l’une des tables du café Bachibouzouk, rue des Jardins 12 à Vevey que je dialoguerai avec la population entre midi à 14 heures. Enfin, le jeudi 8 octobre de 18 à 20 heures, je me rendrai dans le Jura, à l’hôtel de la Truite, Rue de la Poste 4, Le Pont, pour converser avec la population. Toutes ces rencontres seront visibles en live streaming par tous mes « followers » sur Twitter grâce à l’application Periscope. Par ailleurs, si je suis élue à Berne, je m’engage d’ores et déjà à poursuivre ces rencontres en live à travers le canton durant tout mon mandat et ce sur une base mensuelle. Pour parvenir à porter vos voix à Berne, j’ai besoin de votre aide et de votre soutien. Vous pouvez commencer par vous rendre sur ma page communautaire Facebook pour me dire que vous aimez ma démarche. Vous pouvez aussi venir sur mon site personnel pour approfondir le sens de mon engagement. Enfin, le site de LYVA vous en dira davantage sur mon univers professionnel. Je me permettrai de vous revenir dans quelques jours, pas trop souvent rassurez-vous, mais suffisamment pour que le 18 octobre vous puissiez me donner votre voix en toute connaissance de cause. Très cordialement Sylvie Villa PS : Si vous souhaitez prendre connaissance de ma première newsletter, rendez-vous sur mon site personnel en cliquant...

Rencontre avec Jürg Stäubli

par le 22 Sep, 2015 dans Les rencontres de Sylvie, Nouvelles | 0 commentaire

  Jürg Stäubli dirige un groupe financier. Il investit dans différents secteurs tels que l’immobilier à titre de placement à long terme, en Suisse et en Allemagne, ou encore du « private-equity » et des « start-up ». Il a acquis une banque au Kirghizistan (Asie-Centrale). Il est également Vice-Président du Cercle Diplomatique de Genève et conseille plusieurs Gouvernements en matière financière. Il est amateur de vin et adore les domaines viticoles. www.jurgstaubli.ch

Le passé est un prologue – les origines

par le 20 Sep, 2015 dans A propos, Nouvelles | 0 commentaire

Sylvie Villa est née le 20 juillet 1963 en France mais elle passe les deux premières années de sa vie en Allemagne. Son père de l’a pas reconnu. Sa mère, secrétaire dans l’armée de l’air française, change régulièrement d’affectation et ne peut s’occuper de sa fille. Sylvie Villa connaît donc une enfance ballotée de famille d’accueil en famille d’accueil, traversant la France de part en part et réside même quelques temps à l’île de la Réunion alors qu’elle n’a que treize ans. Malgré ces déménagements fréquents, les changements successifs de familles d’accueil, ses résultats scolaires sont bons, voire très bons. De retour en Métropole, elle séjourne dans l’Ain, dans un centre pour jeunes filles. A dix-huit ans, elle s’installe à Genève et suit une formation d’électronicienne à l’Ecole Technique et des Métiers (ETMG). Une grossesse prématurée vient entraver ce parcours de formation. A 19 ans, Sylvie Villa envisage de quitter ses études et de travailler comme caissière dans un grand magasin afin de pouvoir s’occuper de son bébé. C’est compter sans la détermination du doyen de l’ETMG qui aménage le programme de la future maman et lui permet de terminer sa formation avec brio. Elle obtient le prix du Conseil d’Etat. Sylvie Villa est donc mère à 19 ans. Pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille Noémie, elle répare des radios et des télévisions. Mais sa soif d’apprendre n’est pas étanchée, elle suit des cours du soir. Elle demande en mariage le père de sa fille. Celui-ci accepte. Sylvie Villa arrête une nouvelle fois ses études et donne naissance à une deuxième fille en 1986 et à un fils l’année suivante. Un quatrième enfant viendra compléter ce beau tableau en 1992. Contrainte de reprendre une activité professionnelle, Sylvie Villa allie une fois de plus travail et études. Elle suit une formation d’ingénieure en cours du soir et obtient un diplôme ETS en électricité. Elle développe parallèlement un système d’éclairage de secours, ce qui lui permet de faire bouillir la marmite, son mari ne pouvant plus travailler. Retour aux études en 1994, à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Chargée de cours durant sa formation, Sylvie Villa est engagée comme professeur de physique et d’électronique à l’école d’ingénieurs d’Yverdon-les-Bains aussitôt son diplôme d’ingénieure physicienne obtenu. Trois ans plus tard, elle est nommée cheffe du département d’électricité et d’informatique et met en place un système de cours modulaires. Parallèlement à cette fonction, Sylvie Villa est nommée déléguée à l’égalité des chances. Elle crée le magazine, puis le site internet « ingénieuse.ch », ainsi que l’année préparatoire « Future ingénieure » afin d’encourager les jeunes filles à découvrir les métiers de l’ingénierie. En 2006, elle postule au poste de responsable du domaine Ingénierie et Architecture, que vient de créer la HES-SO. Elle est retenue et dirige donc la création de la filière Master of Science in Engineering (MSE) en y incluant le niveau de formation master comme l’autorise alors la Confédération. C’est au même moment, et alors qu’elle vient d’acquérir la nationalité suisse, que Sylvie Villa est approchée par la section de Sainte-Croix du Parti Socialiste vaudois. Elue au Conseil communal, elle est rejointe sur les bancs quelques temps plus tard par son mari et sa fille cadette. L’année suivante, lors de l’élection au Grand Conseil, Sylvie Villa est brillamment élue première de son district, troisième toutes listes confondues, derrière le Conseiller d’Etat Pascal Broulis et Rémy Jaquier, syndic d’Yverdon-les-Bains. Des divergences se font pourtant peu à peu sentir, tant avec la section locale qu’avec le parti cantonal. Sylvie Villa a beaucoup réfléchi durant cette période complexe. Si elle a en commun avec le parti socialiste le souci de solidarité avec les démunis et les précaires, elle milite aussi pour la responsabilité individuelle et pour le soutien à l’initiative et l’entrepreneuriat. Elle quitte donc le PS. Un an plus tard, elle choisit de faire la démarche d’entrer au Parti Démocrate Chrétien. Cette fois, ce n’est pas le parti qui est venu la chercher, mais elle-même qui a choisi sa formation, c’est toute la différence. C’est désormais libre de toute contrainte privée et professionnelle et avec la sensation d’être parfaitement à sa place que Sylvie Villa est candidate au Conseil national pour les élections de l’automne...

Valoriser l’agriculture régionale

par le 19 Sep, 2015 dans Nouvelles, Politique | 0 commentaire

Les accords bilatéraux entre la Suisse et l’Europe ont eu un impact positif pour l’industrie alimentaire en Suisse si l’on considère l’augmentation du montant annuel de produits exportés. Il n’en reste pas moins que le gros des exportations est constitué de produits transformés. La production, l’exportation, l’importation et la consommation de matières premières sont restées stables. Pour les agriculteurs et agricultrices de Suisse, la situation reste donc extrêmement délicate car les coûts de production sont structurellement beaucoup plus élevés que dans les pays voisins. Les exploitations ont tout intérêt à créer de la valeur ajoutée. Dans la famille Guye que j’ai eu la joie de rencontrer, c’est la passion des chevaux qui vient enrichir les activités du domaine. La transformation à la ferme constitue un moyen privilégié de valoriser l’agriculture régionale. Pour exemple, la production fromagère de niche, l’Etivaz AOP (premier produit alimentaire suisse autre que le vin a obtenir l’appellation d’origine protégée). L’Etat pourrait jouer un rôle probant en encourageant et en accompagnant les exploitants agricoles dans de telles démarches. Mais c’est plutôt le contraire qui se passe. Lorsqu’une activité de transformation de produits agricoles est envisagée, l’Etat veut s’assurer de bien distinguer une activité commerciale d’une activité agricole. Dès lors l’arsenal d’exigences et de contrôles est tel que la plupart des producteurs agricoles renoncent, même lors de la construction de nouvelles exploitations ! Et que dire de l’agrotourisme suisse. Prenons un cas concret, celui de la famille Stähli. Christian Stähli – ancien Président suisse d’aventure sur la paille, membre du comité d’agrotourisme suisse – et son épouse Esther sont à l’origine d’une magnifique initiative : offrir des vacances à la ferme à des familles citadines. Une nuit sur la paille ou sous tente dans un site idyllique et dans un calme absolu. Ce sont quelques milliers de nuitées par année que ce couple assure avec grand professionnalisme. Mais l’offre risque bien d’être interdite. Pourquoi ? En Autriche, en Italie, en Allemagne, l’agro-tourisme est très développé. La Suisse veut lier l’agrotourisme à l’agriculture : il faut être considéré comme agriculteur pour être autorisé à offrir des prestations d’agrotourisme. Soit. Mais quelles conséquences concrètes ? Lorsque Christian sera à la retraite, dans cinq ans, il ne sera plus considéré comme agriculteur et ne pourra donc pas continuer à œuvrer dans l’agrotourisme, même s’il loue ses champs à ses voisins agriculteurs et que donc tout son terrain agricole continue à être cultivé ! Pire, l’interdiction risque bien de tomber plus vite encore car l’envergure des activités agricoles de leur domaine n’est pas considérée comme viable (équivalence d’une unité de main d’œuvre). Pourquoi cet acharnement contre les petites exploitations ? Ose-t-on prétendre que ce sont elles les responsables du mitage du territoire qui empêche de pouvoir cultiver suffisamment en Suisse ? Que dire alors des grandes surfaces commerciales qui occupent 15 hectares avec d’énormes parkings goudronnés et qui n’arrivent pas à les construire en sous-sol ? Doit-on rappeler qu’il est très facile de replanter des pommes de terre dans un terrain affecté à quelques tentes de camping ? Moins facile sur un terrain bitumé ! De qui les petits agriculteurs sont-ils donc les ennemis ? Gardons le sens de la logique et du concret. Encourageons toutes les initiatives entrepreneuriales qui permettent à des femmes et des hommes de subvenir à leurs besoins. Il convient aussi de rappeler que le prix commercial des matières premières en Suisse n’a rien à voir avec leur coût réel. Le prix du lait est largement inférieur au prix d’exploitation. On aura beau accroitre la taille de l’élevage et atteindre les valeurs attendues d’équivalences en main d’œuvre, l’exploitation restera vouée à fermer. La simple culture n’étant pas rentable aux prix du marché, les paiements directs et les directives de l’Etat doivent entrer en scène. Quelques agriculteurs courageux veulent rester indépendants et refusent ces paiements directs. Pourtant le système les attend au contour: pas de paiements directs, donc pas de contrôle, impossible dans ce cas de vous acheter votre colza, vos betteraves… Pourquoi mettre ainsi les agriculteurs et agricultrices sous tutelle ? La population ne devrait-elle pas jouer davantage son rôle démocratique en exigeant la transparence des coûts concernant la part payée par l’Etat pour chaque matière première alimentaire ? Ne serait-il pas temps de lever cette interdiction de transformer directement sur le domaine agricole ? Est-ce vraiment aider l’agriculture que de lier la pertinence d’une offre d’agrotourisme à une échelle d’activité agricole ? Echelle dictée par qui ? Imaginons une transition pour les jeunes qui se lancent et pour les agriculteurs expérimentés et volontaires ! Les responsables des exploitations agricoles, qui sont aussi des entrepreneurs, aspirent à une plus grande marge de manœuvre et à des prix justes afin de diriger leurs domaines comme des entreprises, sans crouler sous une régulation et une surveillance...

Rencontre avec Yago

par le 18 Sep, 2015 dans Les rencontres de Sylvie, Nouvelles | 0 commentaire

Yago est un Free Hugger, ou un câlineur. Il propose une étreinte aux passant-e-s qui le désirent, dans la rue. Pour le plaisir du partage et de la rencontre. Il aime les gens. Tout le monde, ou presque. Ces accolades, il les partage le mercredi, à la gare de Lausanne. Mais aussi ponctuellement dans d’autres villes du pays. http://www.facebook.com/yago.free.hugs Ce partage, il le propose également différemment dans le cadre d’une radio associative appelée RNV, pour Radio Nord Vaudois. Retrouvez-le tous les matins de semaine et le jeudi soir. www.radionv.ch

Sylvie Villa propose cinq rencontres aux Vaudoises et aux Vaudois

par le 16 Sep, 2015 dans Nouvelles, Politique | 0 commentaire

Candidate au Conseil national sur la liste 13 du PDC vaudois, Sylvie Villa souhaite relayer à Berne les attentes des Vaudoises et des Vaudois, y traduire leurs besoins. Après les rencontres en vidéo à découvrir sur son site personnel (www.sylvievilla.ch), la candidate a choisi d’échanger avec ses électrices et électeurs, en chair et en os. Elle leur donne cinq rendez-vous à travers tout le canton d’ici au 8 octobre prochain. Celles et ceux qui ne peuvent se rendre sur place pourront suivre ces moments de partage grâce à Periscope, l’application de live streaming fonctionnant avec Twitter. Pour porter la voix des Vaudoises et des Vaudois à Berne, Sylvie Villa a souhaité mieux connaître les préoccupations de celles et ceux qu’elle devra y représenter. Les échanges sont déjà nombreux au travers de la page Facebook de la candidate, de son site personnel, des retours extrêmement positifs générés par ses newsletters. Mais Sylvie Villa n’oublie pas les personnes qui ne sont pas connectées, ni celles qui préfèrent les échanges de vive voix. A l’instar de ce qu’elle a longuement pratiqué lorsqu’elle dirigeait le plus gros département de la HEIG-VD en recevant des centaines d’étudiantes et d’étudiants, elle propose cinq rendez-vous aux Vaudoises et aux Vaudois. L’occasion d’échanger en dehors d’un cadre institutionnel, en toute liberté et en toute franchise. Du 19 septembre au 8 octobre, Sylvie Villa sillonnera donc le canton pour aller à la rencontre de la population. Elle invite par ailleurs toutes ses colistières à la rejoindre pour ces échanges. Samedi 19 septembre, de 10 heures à midi, elle sera au Café-Brasserie de la Poste, Rue du Temple 8, à Payerne. Lundi 21 septembre, jour du Jeûne Fédéral, elle accueillera les Vaudoises et les Vaudois de 17 à 19 heures au restaurant L’Impro, rue des Cygnes 10, à Yverdon-les-Bains. Mercredi 30 septembre, de midi à 14 heures, elle sera au restaurant Lausanne-Moudon, rue du Tunnel 20, à Lausanne. Le mardi 6 octobre, c’est à l’une des tables du café Bachibouzouk, rue des Jardins 12 à Vevey qu’elle dialoguera avec la population. Enfin, le jeudi 8 octobre de 18 à 20 heures, elle se rendra dans le Jura, à l’hôtel de la Truite, Rue de la Poste 4, Le Pont, pour converser avec la population. Toutes ces rencontres seront visibles en live streaming par tous les « followers » de Sylvie Villa sur Twitter grâce à l’application Periscope. Par ailleurs, si elle est élue à Berne, Sylvie Villa s’engage d’ores et déjà à poursuivre ces rencontres à travers le canton durant tout son mandat et ce sur une base mensuelle.   Les dernières informations sur les rencontres de Sylvie Villa et le formulaire d’inscription à ses newsletters sont disponibles sur son site personnel, www.sylvievilla.ch.   Mauborget, 16 septembre...

Rencontre avec Simone Chapuis-Bischof

par le 15 Sep, 2015 dans Les rencontres de Sylvie, Nouvelles | 1 commentaire

Féministe entêtée, grande humaniste, 55 ans de militantisme, toujours au boulot ! Simone s’est vu décerner le Mérite cantonal vaudois le 4 mars 2015. Cette distinction honorifique officielle souligne le rayonnement exceptionnel de son engagement dans la promotion de l’égalité des droits entre les femmes et les hommes.