FacebookTwitter

Améliorer l’intégration sociale et professionnelle

par le 5 Oct, 2015 dans Nouvelles, Politique | 0 commentaire

Partager sur GooglePartager sur FacebookPartager sur Twitter

Bien chers tous, bien chères toutes,

Cette troisième missive vient vous parler d’intégration sociale et professionnelle.

Vous trouverez sur mon site un article consacré à l’intégration intelligente, illustré par la vidéo de ma rencontre avec Philippe et Whethee, un couple mixte, marié depuis 20 ans, mais qui subit pourtant encore les regards suspicieux.

La Suisse, au cœur de l’Europe, se targue d’être une nation de trois cultures, même quatre avec le romanche. Et quoi qu’on en dise, l’intégration s’est plutôt bien faite chez nous : par le travail, les associations, les clubs sportifs, l’école… et les histoires d’amour, comme celle de Whethee et de son mari. Seul 1 mariage sur 3 implique 2 Suisses, le deuxième se fait entre 1 étranger et 1 Confédéré, le troisième entre deux étrangers.

Comment transcender repli et crainte ? Quels remèdes y apporter ? Mon expérience de «permanence (bureau ouvert)» à la Haute École d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (HEIG-VD) m’a démontré que l’écoute est un premier pas important vers la résolution des problèmes. Lors de mes trois premières rencontres spontanées avec les électeurs et électrices dans des cafés-restaurants du Canton, le même constat s’est imposé. Les personnes qui sont dans une situation difficile, celles pour qui chaque centime compte, celles qui vivent en dessous ou à la limite du seuil de pauvreté ne comprennent pas, ne peuvent pas comprendre que des réfugiés ou des demandeurs d’asile soient aidés comme elles ne le seront jamais. Elles ont un sentiment d’injustice, certes, mais elles ont d’abord et surtout l’impression d’être laissées pour compte. S’il est nécessaire de venir en aide à certaines minorités, s’il est vital de corriger certaines inégalités, il vaut aussi la peine d’aller à la rencontre de représentant-e-s de cette majorité qui souffre d’être silencieuse. Le besoin de parler est flagrant, le besoin d’être écouté.

d91c72de-c027-47cf-a25d-285b22704f77

Créer des vocations techniques au féminin
Il est vital de corriger certaines inégalités. Parmi les inégalités les plus criantes, celles qui touchent les femmes, encore trop souvent obligées de faire un choix entre famille et vie professionnelle. LYVA, l’entreprise que j’ai récemment créée, se donne comme mission d’accélérer la mise en œuvre de nouveaux modèles de travail qui permettront de pallier cette inégalité.
Dans un premier temps, LYVA se voit confier un mandat important dans le cadre du programme #bepog – be part of the game pour faire naître des vocations féminines pour les métiers techniques.
Un article complet se trouve sur mon site. Il détaille les principes et le déroulement de la mesure Technique au féminin – Ambassadrices pour les plus jeunes, soutenue par les cantons membres d’arcjurassien.ch (Berne, Vaud, Neuchâtel et Jura).

Mais pour le mener à bien, j’ai besoin de vous, femmes actives professionnellement dans les métiers techniques. Si vous avez une formation dans ce domaine, du CFC au doctorat (formation éventuellement en cours), vous êtes toute désignée pour devenir une ambassadrice pour les plus jeunes. N’hésitez pas à me solliciter pour toute information complémentaire ou pour connaître les conditions d’inscription. Les futures polymécaniciennes, électroniciennes et autres cheffes de chantier vous remercient par avance.
Ce mandat me tient particulièrement à cœur. Durant ces 15 dernières années j’ai créé des événements et programmes pour encourager les jeunes femmes à s’engager dans des formations et professions techniques et scientifiques. J’ai crée le magazine, puis le site internet « ingénieuse.ch », ainsi que l’Année préparatoire Future ingénieure afin d’encourager les jeunes filles à découvrir les métiers de l’ingénierie. Ce mandat s’inscrit donc dans la parfaite continuité de mes convictions profondes.

Pour parvenir à porter vos voix à Berne, j’ai besoin de votre aide et de votre soutien.

Vous pouvez partager dans votre profil Facebook les vidéos et/ou annonces postées sur ma page communautaire afin de les faire connaître à votre propre réseau.

Vous pouvez venir sur mon site personnel pour approfondir le sens de mon engagement et y déposer également vos commentaires. Je suis reconnaissante de ceux reçus de Walter Muller, de Sophie Gällnö et de Jacques Neirynck.
Merci aussi à celles et ceux d’entre vous qui m’ont écrit suite aux premières Newsletters.
Peut-être souhaitez-vous attirer mon attention sur un sujet que vous aimeriez que je porte à Berne pour vous ?

Je me permettrai de vous revenir dans quelques jours, pour que le 18 octobre vous puissiez me donner votre voix en toute connaissance de cause.

Très cordialement

Sylvie Villa

PS : Si vous souhaitez prendre connaissance de mes précédentes newsletters, rendez-vous sur mon site personnel et cliquez sur l’onglet «Espace média», Accès aux newsletters

Soumettre un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*